samedi à SAINT FLOUR

Ce samedi matin tous les candidats, ou presque, des deux cantons de Saint Flour, étaient de sortie !
Le bar "les arcades" a donc vu passer, tout d'abord "gauche" et "sans étiquette", puis "sans étiquette" et "droite". Pour ce qui nous concerne, Jean Luc et moi-même, la position est plutôt confortable, car nous avons le privilège de pouvoir parler avec les deux "camps" et d'avoir le pouvoir de rassembler.

Quand on choisit un camp, comment peut-on rassembler toutes les bonnes volontés pour faire avancer le territoire ? Choisir un camp, c'est déjà diviser.

Et mes propos ne sont pas des propos de campagne. Nous en sommes totalement convaincus et c'est notre volonté forte d'appliquer nos convictions sur le terrain. Aidez nous à réaliser notre ambition de rassemblement en votant en force pour nous le 20 mars prochain.
Et je vous rappelle que nous sommes opiniâtres !

Ceux qui ont travaillé avec nous savent bien qu'on "fait ce qu'on dit et qu'on dit ce qu'on fait".

Lundi, je serai présente à Aurillac pour défendre  l'Ecole et tenter d'empêcher la casse de l'Education Nationale. Il y a longtemps que les élus auraient dû se mobiliser. Lorsque le lycée Jean Monnet a perdu 17 postes en deux ans, qui s'en est ému dans le landernau politique ?
Nous sommes les bons derniers en Europe en matière d'encadrement. En particulier dans l'enseignement secondaire, collège et lycée, où les effectifs pléthoriques, à la période difficile de l'adolescence, avec les difficultés grandissantes, tant sociales que familiales et de fait éducatives, sont une des causes de l'échec scolaire. Certes, ce n'est pas essentiellement une question de moyens, mais cela y contribue largement.

Le Conseiller Général doit donc se mobiliser pour l'Ecole dans son ensemble, comme pour un maillage intelligent du territoire en matière de service public.

Jean Luc FAURE

Christiane MISSEGUE